SOUFFREZ-VOUS DE LA PEUR DU DENTISTE?
votre solitude face à votre problème n’est qu’apparente car VOS nombreuses questions ont les mêmes réponses pour beaucoup de gens qui souffrent aussi
Quelles sont les thérapeutiques pour traiter l'odontophobie ?
La place de la « peur du dentiste » dans votre prise en charge pour des soins dentaires.
Depuis les années 2000, des médecins dentistes comme notre Chef de Départment Dentaire chez Smile Designer, le Docteur Jérôme Weinman, ont intégré dans toutes leur prises en charge de patients pour des traitements de chirurgies orales (implantologie et parodontologie), de prothèse dentaire et d’esthétique du sourire, la problématique spécifique des patients en errance médicale, à cause de leur « stomatophobie » ou la « peur du dentiste ».
Les nombreuses années d’expérience dans le domaine des sédations dentaires pour des prises en charge chirurgicales ont permis au Dr Jérôme Weinman et au groupe de médecins anesthésistes qui suivent sa pratique, d’adapter des protocoles de sédation par voie intraveineuse, normalement utilisés pour des gestes de chirurgie médicale générale, aux protocoles spécifiques des soins dentaires au cabinet.
Sa pratique s’est élargie de la France à la Suisse.
Au départ de la réflexion sur le thème des techniques de sédation par des anesthésistes, il ne s’agissait que d’outils classiques pour traiter les problèmes dentaires dont les thérapies relevaient de la chirurgie orale.
Puis, il a fallu apporter une réponse pratique spécifique pour des patients éloignés ou étrangers qui avaient besoin de confort lors de soins dentaires complexes et chronophages. Ils étaient tous réticents à se faire soigner du fait d’une appréhension justifiée devant un volume important de soins dentaires, même compactés. Une certaine « peur du dentiste » diffuse devait être gommée par des sédations adaptées à des long soins dentaires, de toutes natures et dans toutes les discipline de la chirurgie orale, mais aussi de l’odontologie classique.
Puis, au fil du temps, la demande de sédation par voie IV s’est énormément développée sous les adjurations des personnes odontophobes.
La problématique de la peur du dentiste paralysante est devenue un thème de réflexion à part entière
Il apparait que la gestion de la stomatophobie est historiquement peu gérée dans l’Europe occidentale trés médicalisée, pour des raisons mal définies.
Nous nous sommes aperçus que de très nombreuses personnes étaient en rupture de soins et en errance médicale, parce que leur problème de stomatophobie n’était pas complètement pris en compte dans leur prise en charge par les cabinets généralistes. Ces cabinets d’omnipratique, malgré toute l’attention portée aux patients sont peu équipés pour traiter ces personnes. Puisque, la façon la plus radicale et efficace de le faire est de les sédater, avec des techniques d’anesthésies par voie intraveineuse, pratiquées par des médecins anesthésistes.
Ces techniques sont décrites dans le chapitre « VOS SOINS DENTAIRES SOUS SÉDATION IV » cliquez ici.
Elles sont pratiquées exclusivement par des médecins anesthésistes-réanimateurs, entrainés à ces pratiques au sein du cabinet dentaire.
L’odontophobie : un mal aussi grave que peu reconnue
Les mondes des sciences et de la médecine ont énormément évolués au cours des derniers décennies. Celui de l’odontologie n’a pas fait exception. En particulier, grâce aux sauts qualitatifs importants réalisés dans le domaine de « l’imagerie médicale numérisées » et de la « conception et la fabrication numérisée des prothèses dentaires ».
Le monde de l’odontologie s’est également rapproché de celui de la médecine générale. Or, la première pratique médicale communément admise au départ de la prise en charge est l’exploration et le diagnostic. Une démarche initiale médicale qui infuse et se diffuse de plus en plus lors des soins dentaires.
Cette évaluation commence naturellement dans les domaines des techniques odontologiques proprement dites, mais s’étend de plus en plus également au domaine du relationnel avec le patient.
Le praticiens de l’odontologie attachent de plus en plus d’importance au confort et au bien-être du patient. Les soins sont beaucoup plus confortables et moins douloureux qu’il y a encore peu.
Pour autant, pourquoi en dépit de ces évolutions au sein du cabinet dentaire, la « peur du dentiste » reste considérablement ancrée dans l’activité mentale des personnes devant se soumettre à des soins dentaires ?
Pour beaucoup de personnes, se rendre chez le dentiste constitue une épreuve redoutée, voire même insurmontable, y compris au prix de douleurs dentaires immenses.
Ce phénomène touche toutes les tranches de la population, quel que soit l’âge, le sexe ou le milieu social. Cela peut constituer une véritable barrière aux soins dentaires pour une partie non négligeable des patients.
Ce qui amène bien souvent ces derniers à retarder voire délaisser la consultation au cabinet dentaire, au détriment de leur santé bucco-dentaire mais également leur santé physique générale et psychique.
L’OMS considère que la « phobie » est une pathologie d’ordre psychiatrique. Parmi les phobies les plus courantes qu’elle distingue en odontologie : la phobie du sang ou « hémophobie », des aiguilles ou « achmophobie » et bien sur la phobie du dentiste qui est considérée comme une phobie spécifique nommée « odontophobie » ou « stomatophobie ». (OMS, 28 oct. 2020).
Il est donc important de dépister ce type de patient et d’en améliorer la prise en charge.
La peur du dentiste devient un élément central de la prise en charge des personnes lors des soins dentaires
Il y a un démarrage de la prise en compte de la restauration de la santé physique mais aussi psychique des patients stomatophobiques.
Depuis de nombreuses années différents services hospitaliers en Europe ont commencé à rattraper leur retard sur la prise en charge des patients atteints de stomatophobie. Notamment, citons, mais de manière non exhaustive:
- les initiatives du CHU Mondor en région parisienne,
- celles du CHU de Nice (dont nous mettons en pièce jointe une très intéressante thèse de Doctorat sur ce thème)
- ou celles du Dr Michael Leu, médecin allemand, précurseur dans ce domaine avec un protocole bien défini en trois étapes
- L’OMS considère même qu’il s’agit d’une pathologie d’ordre psychiatrique. Parmi les phobies les plus courantes, on distingue la phobie du sang, des maladies et aiguilles. La phobie du dentiste est considérée comme une phobie spécifique nommée odontophobie.28 oct. 2020.
Mais alors pourquoi la phobie du dentiste, ou tout simplement la peur du dentiste ou l’appréhension des soins dentaires, devient un des éléments centraux de la prise en charge des personnes désireuses de consulter pour traiter leurs pathologies dentaires, carieuses ou parodontales ?
Malgré toutes les attentions et tous les progrès que les professionnels de la médecine dentaire appliquent lors des soins pour leurs patients, il ressort que l’appréhension des soins dentaires, la peur du dentiste voire même la phobie des soins dentaires, appelé stomatophobie ou odontophobie, est profondément encrée dans l’inconscient collectif de la population, y compris celui des pays fortement médicalisés.
Qui plus est, cette peur se renouvelle au gré des générations et n’a pas l’air de se tarir. Alors hormis les « affreux dentistes » support de toutes les peurs fantasmées ou réelles il y a-t-il autre chose ?
La stomatophobie touche les personnes de toutes couches sociales, de tous les genres et de toutes les origines. Selon les observations des praticiens réfléchissant sur ce thème, dont le Dr Jérôme Weinman, l’étiologie de ce mal repose sur deux catégories de causes :
- D’abord des causes intrinsèques aux pratiques dentaires, souvent illustrées par des traumatismes vécus dans l’enfance (mais pas que), à la suite de brusqueries – voire des maltraitances – commises par des confrères indélicats ou trop pressés.
Ce sujet a longtemps été considéré par certains comme tabou. Pour notre part, nous pensons qu’il doit être traité scientifiquement, même si depuis plusieurs années les techniques et l’approche psychologique des confrères se sont beaucoup humanisées.
- Ensuite, des causes extrinsèques au monde de l’odontologie qui relèvent de l’expérience de la « souffrance » au sens le plus large. Cela englobe toutes les formes de maltraitance ou les accidents et les agressions dans toutes leurs formes, qu’elles soient physiques ou psychologiques.
Ces mauvaises expériences sont beaucoup plus nombreuses qu’on ne l’imagine !
En raison d’un processus mental de refoulement, beaucoup de personnes sont mal à l’aise dans un fauteuil dentaire, car le dentiste est techniquement presque à califourchon sur le patient. Ce dernier est allongé et soumis, la bouche ouverte, subissant des soins qui sont dans la conscience collective assimilés aux tortures des séries TV !
Pour beaucoup, des souvenirs enfouis conscients ou inconscients les rendent fragiles et anxieux à l’extrême en cas de soins dentaires.
Vous vous sentez seul et incompris face à votre peur du dentiste ?
Dans les pays industrialisés européens, on recense 10 à 12% de la population comme souffrant d’une phobie prononcée du traitement dentaire.
Nous constatons, avec le recul de l’expérience, que quelles que soient les origines du mal, tous ces patients ont en commun le sentiment d’être uniques dans leur genre et en conséquence totalement abandonnés, voir exclus de la société et des parcours médicaux. Nous avons tenté, à travers de nombreuse communications Internet d’expliquer ces problèmes.
Nombreux confrères ont essayé de classer les patients stomatophobes par gradient de sévérité, à l’aide de tests tous basés sur des « questions-réponses ».
Ces tests sont certainement très intéressants dans le cadre d’études scientifiques et académiques, et surtout dans le cadre d’une approche psychologique.
Nous n’avons pas la prétention de faire ce genre d’études mais tout simplement d’avoir une approche totalement pragmatique qui permette aux patients de se faire soigner.
A l’aune de notre très longue expérience clinique dans ce domaine de la « stomatophobie » ou sa forme mineure : la « peur du dentiste », nous considérons que ce qui est primordial ce n’est pas tant « ce que pense le praticien du patient », mais ce que « le patient pense de lui-même ».
Ce qui veut dire, en pratique, que si un patient se considère comme angoissé dans un cabinet dentaire cela suffit pour le praticien de le prenne en charge en conséquence, soit parce qu’il ne peut pas être soigné autrement, soit parce que tout simplement c’est le choix du patient d’avoir du confort.
Au cours de notre expérience avec les patients en errance craignant le dentiste, nous avons recensé des phénomènes, des symptômes ou des raisons, qui peuvent indiquer au praticiens mais essentiellement aux patients eux même, qu’ils relèvent d’une prise en charge adaptée à un mal-être au sein d’un cabinet dentaire.
Voici les observations LES PLUS FRÉQUENTES faites sur les personnes ayant peur des soins dentaires
Certaines humiliations SUBIES font prendre conscience d'UNE STOMATOPHOBIE
Selon les observations recensées nous avons constaté que la plupart des patients atteints de stomatophobie à différents degrés souffraient des humiliations suivantes :
1 – J´ai honte de mes dents.
2 – J’ai un complexe à cause de mes dents.
3 – Je ne parle à personne de mes problèmes de dents.
4 – J´ai peur qu’un dentiste se moque de moi à cause de mes dents sales et abimées.
5 – J´ai peur qu´un dentiste m´insulte à cause de mes dents sales et abimées.
6 – J´ai déjà été humilié dans un cabinet dentaire à cause de mes dents
– Soit à cause de mes dents abimées
– Soit à cause de ma peur du dentiste
7 – J’ai déjà été ridiculisé par mon entourage
– Soit à cause de mes dents abimées
– Soit à cause de ma peur du dentiste
8 – Cela me gêne de parler avec un dentiste.
9 – J’ai peur même d’appeler un cabinet dentaire ou je ne réponds pas lorsque l’assistante me rappel ou je ne viens pas au rdv que l’on me donne au cabinet dentaire.
10 – La possibilité de parler avec un docteur conscient de ma souffrance d’avoir mal aux dents et en même temps de ma peur du dentiste me facilite la prise de contact:
certains événement traumatisants sont à l'origine de la peur du dentiste
Selon les observations recensées nous avons constaté que la plupart des patients atteints de stomatophobie ont expérimenté à différents degrés les traumatismes suivants :
1 – Une expérience traumatisante aigue chez un dentiste pendant mon enfance que j’aurais vu ou vécu.
2 – Une expérience traumatisante aigue chez un dentiste à l´âge adulte que j’aurais vu ou vécu.
3 – Une agression physique (cachée ou connue) au cours de ma vie par un individu qui m’a donné une phobie de tout actes perçus comme intrusif sur ma personne
4 – Une agression psychologique (cachée ou connue) au cours de ma vie par un individu qui m’a donné une phobie de tout actes perçus comme intrusif sur ma personne
5 – Des réflexes nauséeux ou des nausées extrêmes des que l’on m’introduit un instrument dans la bouche.
6 – La peur de m’étouffer lors de la prise des empreintes dentaires
7 – La peur d’avoir mal pendant les soins dentaires
8 – La peur d’avoir mal après les soins dentaires
9 – Une expérience traumatisante suite à un accident ou une grave maladie et une hospitalisation longue et difficile.
10 – Une expérience traumatisante suite à des soins dentaires longs et douloureux qui se sont soldés par un échec.
l’ampleur de l'ODONTOPHOBIE est variable
Selon les observations recensées nous avons constaté que la plupart des patients atteints de stomatophobie ont expérimenté à différents degrés les préjudices suivants :
1 – Depuis une expérience traumatisante, je me sens impuissant et abandonné chez le dentiste.
2 – Je pense constamment à cette expérience traumatisante chez le dentiste.
3 – Je me sens comme en prison dans un cabinet dentaire. Ce problème m’oppresse et je sens que j’étouffe ou que ma tête tourne, je suis en panique
4 – Mes problèmes dentaires me provoquent des insomnies ou des cauchemars.
5 – Contacter un cabinet dentaire est une épreuve que je ne peux surmonter. Je suis en panique et je raccroche à la première sonnerie.
6 – Ma peur du dentiste me pousse à une certaine isolation sociale.
7 – Ma peur du dentiste entrave ma réussite professionnelle.
8 – Ma peur du dentiste gêne mes loisirs.
9 – Ma peur du dentiste a un impact négatif sur ma vie sexuelle.
10 – Ma peur du dentiste réduit mon amour-propre.
le contrôle sur la peur du dentiste est différent selon les personnes
Selon les observations recensées nous avons constaté que la plupart des patients atteints de stomatophobie ont différents degrés de contrôle sur leur peur du dentiste :
1 – Je peux très bien cacher mes problèmes dentaires.
2 – C´est un grand effort, mais j´arrive me contenir.
3 – Ma contenance baisse et se brise en présence d’un dentiste.
4 – Ma contenance baisse et se brise en présence de photos de mes dents.
5 – Ma contenance baisse et se brise en présence d’une conversation sur mes dents.
6 – J’ai des réactions incontrôlables et incompréhensibles dans le cabinet dentaire
7 – Je fais un malaise sur le fauteuil du dentiste ou je vomis.
CHEZ LE DENTISTE, LE CORPS RÉAGIT QUELQUE FOIS VIOLEMMENT AU STRESS
Selon les observations recensées nous avons constaté que la plupart des patients atteints de stomatophobie ont expérimenté à différents degrés les symptômes suivants :
J’ai des sueurs
J’ai des tremblements
J’ai des nausées
J’ai des palpitations
J’ai des envies de vomir
J’ai le souffle court
J’ai des étouffements
J’ai des diarrhées
J’ai des pensées suicidaires
J’ai peur d’une perte de contrôle
J’ai des douleurs à la poitrine ou au cœur
votre solitude face à votre problème n’est qu’apparente car VOS nombreuses questions ont les mêmes réponses pour beaucoup de gens qui souffrent aussi
Si, en lisant ces lignes, vous avez le sentiment que la peur du dentiste a des effets négatifs dans beaucoup de domaines de votre vie, nous vous conseillons de prendre contact avec nous POUR UNE PRISE EN CHARGE GLOBALE.
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